Mémoire de ma petite chose
- Maîtresse De Matika
- 6 sept. 2021
- 5 min de lecture
Il est temps d’emmener la petite chose “encagée” faire des courses!
En ce dimanche matin je me lève à 8h, horaire très matinal en ce mois d'Août mais Maîtresse veut que je l’accompagne pour faire des courses et pour passer à la déchetterie pour jeter des objets encombrant, ce qui en soit n’est pas une épreuve. Mais hier soir, alors que je ne m’y attendais pas, Maitresse m’a communiqué un message pour exiger que je vienne “encagé”.
Maîtresse m’a demandé il y a plusieurs semaines de me procurer une cage de chasteté qu’elle a choisi.
Donc après ma douche je l’installe sur mon sexe minutieusement car je pense que je vais devoir la porter longtemps il faut donc qu’elle soit bien mise pour ne pas être trop rapidement insupportable. Je finis en fermant le cadenas et en plaçant les clés dans ma poche pour les remettre à Maîtresse en arrivant. A ce moment j’hésite à garder l’une des 2 clés chez moi au cas où, mais ce n’est pas la règle du jeu selon moi. Je prends donc les 2 clés sans en garder chez moi. Ensuite je prends également mon collier avec le médaillon “Ma petite chose” au cas où Maîtresse exige que je le mette durant ma mission de ce matin.
Au pied de l’immeuble, comme d’habitude j’envoie un sms depuis mon téléphone pour indiquer que je suis en bas.A ce moment Maîtresse me demande de monter car il y a quelques actions à mener chez elle, un meuble à déplacer. J’entre donc dans l’appartement et j’embrasse les pieds de Maîtresse en me préparant à me positionner à côté du canapé à genoux comme Maîtresse l’exige désormais, mais nous n’avons pas le temps. Je me relève donc après avoir embrassé les fabuleux pieds de Maîtresse, puis j’aide immédiatement la Maîtresse à déplacer le meuble. Avec Maîtresse cela ne traîne jamais, il faut aller vite.
Ensuite Maitresse m’indique quelques objets que je dois descendre à la voiture pour qu’on les dépose à la déchetterie avant d’aller faire des courses. A ce moment je me demande si la cage ne va pas me gêner pour ces allers-retours, mais dans tous les cas, je n’ai pas de question à me poser il faut obéir. Je m’exécute donc et commence à faire des allers retours jusqu’au rez de chaussée avec tous les objets, j’ai à peine descendu le dernier objet que Maîtresse arrive également au rez de chaussée et me mets la pression pour que j’accélère. Je suis essoufflé, je commence déjà à transpirer, mais peu importe je dois aller plus vite.
Je commence par installer Maîtresse dans la voiture puis je charge tous les objets dans le coffre. Je rentre dans la voiture essoufflé, légèrement en sueur, ce qui amuse beaucoup Maitresse, puis je remets les clés de la cage à Maîtresse, qui s’amuse en me disant qu’elle pourrait bien les perdre, et qu’il me faudrait dans ce cas acheter une pince coupante. Cette perspective ne me plait guère mais Maîtresse à tous les droits bien sûr.
Notre première étape nous mène donc à la déchetterie ou je dois déposer tous les objets sans perdre de temps pendant que Maîtresse attend dans la voiture.
Puis nous prenons la route pour faire les courses, je commence de mon côté à sentir une gêne de plus en plus importante avec la cage mais peu importe.
Nous arrivons donc au parking du supermarché ou en sortant de la voiture je me rends compte que les courses vont être longues car la cage pèse lourd et commence à tirer de plus en plus fort, le jean permet que cela ne pèse pas trop mais en marchant cela devient de plus en plus gênant. Pour s’amuser Maîtresse me demande où elle a bien pu mettre les clés de la cage, puis rapidement me rassure en me disant qu’elle les a bien avec elle.
J’apporte toute mon aide à Maîtresse pour mettre les courses dans le caddie, et je fais en sorte de ne pas montrer ma gêne. Je pense que la cage portée sans caleçon ni pantalon doit vite devenir un poids assez douloureux très rapidement, mais pour le moment je dois me concentrer sur l’aide que je dois fournir à Maîtresse.
Le caddie se remplit de plus en plus et je me rends compte que je vais devoir monter tout cela à l’étage de Maîtresse, cela va être difficile, mais c’est pour le plaisir de Maîtresse.
Une fois aux caisses, je fais en sorte de tout mettre sur le tapis et ensuite de charger les sacs sans que Maîtresse n’ait besoin de faire quoi que ce soit. Maîtresse s’amuse à me pousser tous les articles que le caissier lui passe et de mon côté j’essaye de faire au plus vite car Maîtresse n’aime pas que cela traine. Mais dans mon caleçon cela devient désormais douloureux mais je ne veux pas me montrer faible, Maîtresse n’aime pas cela.
Nous rentrons sans trop de difficulté, assis dans la voiture la gêne devient moins importante.
Une fois rentré, je demande à Maîtresse si elle souhaite que je fasse plusieurs allers-retours, ce qui lui semble inutile, elle m’indique qu’elle va prendre 2 ou 3 articles légers pour que je puisse faire un seul voyage mais avec un sac extrêmement lourd. Dès la sortie du parking je me rends compte que le sac est en effet terriblement lourd, cela me coupe les doigts mais à moi de serrer les dents. Maîtresse me fait monter devant elle pour pouvoir assister à mon calvaire. Elle trouve beaucoup de plaisir à me voir souffrir dans les escaliers, ce qui bien évidemment m’apporte également beaucoup de plaisir.
Dans les escaliers, je rappelle à Maîtresse qu’il ne faudra pas oublier de me donner les clés car sinon je serai bloqué. Cela amuse Maîtresse qui me demande si je mérite bien cela ou si je dois conserver la cage plusieurs jours. J’avoue paniquer un peu car je ne me vois pas porter cette cage plusieurs jours de suite. Arrivé sur son pallier, Maîtresse se retourne vers moi en me disant “Tu gardes la cage sur toi et tu passeras chercher les clés après avoir rédigé la nouvelle de notre journée”, puis elle m'indique une heure limite, “Tu as jusqu’à 16h aujourd’hui!”
Je supplie Maîtresse de me faire confiance et de me donner les clés, et que je retirerai la cage qu’une fois cette nouvelle rédigée. Malgré le fait qu’elle me reproche de négocier encore une fois, elle accepte de me rendre les clés.
Il est actuellement 13h30, je termine la rédaction de la nouvelle que je vais envoyer à Maîtresse pour enfin pouvoir retirer la cage qui commence à peser terriblement. Et j’ai pourtant la chance d’avoir un jean qui évite que la cage tire soit suspendue et tire directement.
Merci Maîtresse pour cette nouvelle aventure.
La petite chose.
Sublime récit, enfin un site ou la reine des lieux et de ses sujets à l' esprit d/s et la culture, j' ai été très rapidement transpercé. Un humble