Mémoires de ma petite chose
- Maîtresse De Matika
- 30 juil. 2021
- 7 min de lecture
Samedi 18h: “...Tiens lundi, tu feras mon chauffeur. Organise toi de façon à être disponible et chez moi pour 10h00… Maîtresse De Matika” .
Ce message au style merveilleusement directif ne laisse aucune place au doute, je serai forcément lundi matin à 10h aux pieds de Maîtresse quel que soit mes engagements déjà planifiés . Ce message déclenche en moi instantanément un changement de personnalité, je deviens immédiatement la petite chose de maîtresse n’ayant qu’un objectif, l'obéissance absolue. Maîtresse décide et la petite chose doit obéir, j’annule donc immédiatement toutes les réunions de lundi matin.
Dimanche 16h: “...Prépare toi ma petite chose car demain , je te réserve quelque chose qui va t’humilier au plus haut point. Prends donc ton collier avec ta médaille avant de venir… Maîtresse De Matika”
Le message ne peut être plus clair, lundi matin va être forcément une expérience inoubliable pour moi, je vais devoir me dépasser. Maîtresse lit en moi comme dans un livre ouvert, elle sait ce que je ressens, ce qui me fait peur, mes limites. Elle sait que j’aime la discrétion et que je n’aime pas que d’autres personnes qu’elle même, me voit dans cette position de soumission. Maîtresse veut me tester, à moi de lui montrer que je peux tout faire pour elle! Mais j’appréhende ce que Maîtresse va me demander, car je sais qu’elle veut aller loin pour me tester, et que ce sera fortement humiliant.
Lundi 9h, j’arrive chez Maitresse, “Bonjour Maîtresse, j’espère que vous allez bien” et dans l’instant qui suit je me positionne à 4 pattes afin de pouvoir baiser les merveilleux pieds de Maîtresse, chaussés de ses escarpins velour noir. Je m’applique à baiser toutes les parties du pieds accessibles à mes lèvres. Notamment chacun de ses magnifiques doigts de pieds aux ongles vernis d’un rouge que j’aime beaucoup. J’hésite même à baiser la semelle des chaussures, mais Maîtresse ne m’ayant pas indiqué qu’elle souhaitait ce genre de chose, je ne me permets pas de passer à l’acte. En me relevant je fais remarquer à Maîtresse que je la trouve magnifique avec cette robe qui lui va à ravir. Maîtresse est très belle, habillée avec raffinement et maquillée avec beaucoup de goût, elle rayonne pour sa petite chose. Je me sens rien à côté de Maîtresse De Matika, ce sentiment est exacerbé par le fait qu’elle soit magnifique.
Ensuite, sous la direction de Maîtresse, nous prenons donc la direction du garage afin que je puisse jouer mon rôle de chauffeur de Maîtresse. Nous croisons dans le hall de l’immeuble le gardien, qui nous salue, à ce moment précis je me dis que j’ai beaucoup de chance que Maîtresse ne m’ai pas imposé au préalable le port du collier ostensiblement visible.
Au moment de monter dans le véhicule, Maîtresse m’ordonne de lui ouvrir la porte afin qu’elle puisse s’installer confortablement à l’arrière droit du véhicule. Mais au moment de monter dans le véhicule, à mon tour, Maitresse m’impose de mettre à mon cou le collier de chien en cuir noir avec le médaillon sur lequel est gravé “Ma petite chose”. Maîtresse fait ainsi instantanément de moi son chien qui va la conduire là où elle le décidera. Portant une chemise blanche le collier noir et le médaillon se voit parfaitement bien dans l’encolure de la chemise.
Maîtresse constate mon malaise à porter ce collier publiquement. Elle se met à rire de la situation car elle aime le fait que je sois gêné par l'humiliation que provoque le port de ce collier de chien. Cela me fait plaisir car l’objectif de Maîtresse est visiblement atteint. A plusieurs reprises je tente de regarder dans le rétroviseur central pour voir si le collier se voit ou non, et je constate qu’il est très visible. Je me sens donc terriblement humilié, j’ai l’impression que toutes les personnes que nous croisons voient ce collier.
Je sens très clairement que Maîtresse est totalement satisfaite d’avoir trouvé un vrai moyen de pression sur moi, le port de ce collier de chien au cou de sa petite chose en public est terriblement humiliant. Je vois que Maîtresse trouve énormément de plaisir à m’humilier publiquement ainsi, ce n’est pas une pratique que j’affectionne personnellement mais cela n’a aucune importance. A partir du moment ou Maîtresse souhaite jouer avec sa petite chose ainsi, je me dois de m’investir et de progresser dans ce domaine.
En sortant du parking, Maîtresse fait monter la pression en m’indiquant qu’elle me réserve quelque chose de bien plus humiliant. L’objectif est atteint, je me sens fébrile à l’idée d’aller plus loin. D’ailleurs Maîtresse, pour accentuer ma fébrilité, me dit que mes nouvelles sont déjà suivies par certains de ses soumis et contacts, ce qui bien évidemment engendre en moi une humiliation et pression supplémentaire. Les nouvelles que je rédige pour dévoiler à Maitresse mes sentiments et mes ressentis sont partagés publiquement. Et Maîtresse me lit à haute voix quelques messages qu’elle à reçu suite aux précédents épisodes.
Sur la route je m’applique et reste bien attentif, afin d’éviter tout contrôle qui pourrait être difficile à assumer avec ce collier autour de mon cou.
Quelques instants plus tard, Maitresse me dit en riant, qu’il va être nécessaire de mettre de l’essence. Elle sait bien sûr qu’elle déclenche en moi une véritable panique, je m’imagine devant le caissier ou la caissière avec ce collier autour du cou pour payer le plein d’essence. Je suis préoccupé par la scène que j’imagine au point de devoir me reprendre à plusieurs reprises pour positionner la voiture pour faire le plein d’essence. Au moment de sortir du véhicule, vu que c’est la première fois, je suis autorisé à enfiler ma veste pour mener ma mission allant jusqu’à payer à la caisse. Je fais donc le plein du véhicule avec ce collier autour du cou mais ma veste permet de le masquer. Ensuite je me présente devant la caissière pour payer le plein du véhicule. Je suis rassuré car seul le haut du collier est visible mais pas identifiable. Mais moi je sais que je me présente devant cette personne avec un collier de chien autour du cou, avec ce médaillon portant mon nom de soumis. D’un autre côté je suis un peu déçu de moi car je n’ai pas été capable d’assumer le port de ce collier visible publiquement. Mais je sais que Maîtresse ne compte pas s'arrêter là et que je vais devoir apprendre à assumer cela et bien plus encore pour Maîtresse.
Je remonte dans le véhicule, retire ma veste et ajuste le collier pour qu’il soit cette fois bien visible en espérant en moi-même que la caissière sera toujours là et que cette fois çi elle verra bien mon collier. J'espérais quelque part peut être me rattraper un peu de mon échec personnel. Mais malheureusement il n’y avait plus personne à la caisse au moment ou nous avons franchi la sortie de la station.
Nous continuons ainsi notre route jusqu’au rendez vous de Maîtresse. Je m'arrête devant le bâtiment dans lequel Maîtresse à rendez-vous. A ce moment-là je me rends compte que Maîtresse ne peut sortir du véhicule, que je dois lui ouvrir la porte. C’est peut être l’occasion de se rattraper de mon précédent échec. Je sors donc de la voiture sans réajuster ma chemise ni enfiler ma veste pour ouvrir la porte de Maîtresse avec le collier bien visible. J’en profite pour demander à Maîtresse si pendant le temps ou je vais attendre dans la voiture, je peux retirer le collier. Maîtresse me l’interdit très logiquement. Je remonte donc dans le véhicule pour le garer et attendre Maîtresse comme tout bon chauffeur. Maîtresse me dira plus tard qu'elle a vu le vigile posté devant le bâtiment regarder dans ma direction et plus précisément mon cou en se demandant visiblement ce que je portais autour du cou. Au moment où j'ai appris cela, j’ai intérieurement été soulagé car j’avais potentiellement rattrapé l’échec de la station service.
Sur le parking, je n’ai absolument pas caché mon collier, j’ai travaillé sur mon ordinateur portable en attendant que le rendez-vous de Maîtresse se termine, le collier autour de mon cou et visible par toutes les personnes sur le parking passant à proximité du véhicule.
Maitresse ayant terminé son rendez-vous, elle siffle sa petite chose à l’aide du message “J’ai terminé. Je t’attends à l’entrée”. Immédiatement je reprends la direction du bâtiment ou est rentré Maitresse afin de la récupérer le plus vite possible pour ne pas la faire patienter. Et nous repartons immédiatement direction un coin tranquille ou Maîtresse souhaite que sa petite chose lui masse les pieds. A chaque rendez-vous, Maîtresse a pris l’habitude de se faire masser les pieds et il n’est pas question de ne pas respecter ce rituel. Comme d'habitude, Maîtresse contrôle la situation et m’indique là où nous devons nous rendre pour que je puisse masser ses pieds divins. Le premier parking sur lequel nous nous garons est très rapidement envahi par d’autres personnes se garant à proximité, ne nous permettant pas de garantir notre tranquillité. Nous repartons donc sur le champ pour un autre parking plus tranquille.
Une fois garé je monte à l’arrière du véhicule afin que Maîtresse puisse étendre ses jambes dans ma direction pour me permettre de retirer les magnifiques escarpins de velour noir de ses pieds afin de pouvoir les masser et les baisers de ma bouche de temps en temps. En posant les escarpins, je les admire avec leurs magnifiques talons que j’imagine parfois entrer totalement dans ma bouche. Je me reconcentre et commence à masser les pieds de Maîtresse pendant qu’elle vaque à ses occupations et que nous discutons. Je tente également de ne pas omettre les “Oui Maîtresse” dés que Maîtresse m’adresse la parole. Je m’applique également à masser les pieds en changeant fréquemment les mouvements de mes doigts sur la voûte plantaire, et sur chacun des doigts de pieds. J’admire ces pieds magnifiques (Je comprends pourquoi Maîtresse aime beaucoup ses pieds) actuellement posés sur mes cuisses pendant que je les masse. De temps en temps je baisse ma tête en montant, vers mes lèvres, les pieds de Maîtresse afin d’y déposer un baiser. J’ai terriblement chaud dans la voiture à ce moment-là mais je ne fais aucune remarque et ne dis rien. Je dois toujours rester digne et impassible pour Maîtresse. Malgré la chaleur étouffante, le temps passe très très vite. et il est déjà malheureusement temps de rentrer. Nous faisons donc la route inverse pour revenir au pied de l’immeuble de Maîtresse.
Je suis donc autorisé à retirer le collier de mon cou. Nous discutons encore un peu une fois la voiture garée notamment sur le fait de rédiger cette nouvelle afin que Maîtresse la valide selon ses propres critères puis j’imagine là partage publiquement sur son site ou via son compte Facebook.
Maîtresse me fait constater à ce moment-là qu’elle possède désormais une punition qu’elle pourra brandir quand elle le souhaitera grâce à ce petit collier d’animal de compagnie posé sur mon cou et visible en public lorsqu’elle le souhaite afin de montrer publiquement que je suis son chien.
A Maîtresse De Matika, déesse et Maîtresse de mon jardin secret….
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