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Nouvelle de ma Suzie

Samedi. Matin. 10h. Je viens d’arriver à la gare, comme convenu quelques jours auparavant avec Madame. Je dois l’attendre devant l’entrée. Madame n’est pas là. Il fait froid. Le temps passe. « Tu as interdiction de bouger jusqu’à ce que j’arrive ». Madame arrive enfin. Elle porte son perfecto en cuir, le même que celui de notre première rencontre. La seule vision du cuir m’excite déjà. « Enlève donc ton écharpe ». Je la salue, baisse les yeux et enlève mon écharpe. Je sens ses mains glisser autour de mon cou. A leur passage, je sens qu’une lanière se resserre autour de moi. J’entends le cliquetis d’un loquet. Madame vient de me mettre un petit collier. « En attendant le vrai… » Madame approche sa bouche contre mon oreille et me murmure. « Tu as fait le malin lors de notre premier rendez-vous, je vais donc te tester ». Madame se recule et me regarde. Elle hoche la tête de contentement. Je sens que le collier est bien serré autour de mon cou. Je n’arrive pas à savoir, s’il est visible ou non. Je passe ma main autour de ma chemise « Non. Non. Fais moi confiance. Il est à peine visible. Vois ça comme un test. Réussis-le et on passera une bonne journée ». J’ai depuis notre premier échange attendu ce moment. Celui où je serai à son service. Notre première rencontre était un entretien où on avait parlé de SM et d’autres sujets. Maintenant il était temps de passer aux choses sérieuses. Le test commençait. « Tu vas aller à ce tabac et m’acheter des cigarettes. Des Marlboro light. Bien ? » « Oui Madame ». « Allez. Je te surveille. N’oublie pas… Si tu échoues tu repars aussi sec chez toi ». Après un temps d’hésitation, je me lance. Je me dirige vers le tabac. J’ai l’impression que les gens nous regardent. Une sueur chaude me parcourt le corps. Je marche. Fébrilement. A mesure que j’approche du tabac, j’ai l’impression que tout est au ralenti. Que les minutes deviennent des heures. Je pousse enfin la porte du tabac et arrive au comptoir. « Bonjour. Un paquet de Marlboro light s’il vous plait ». Le buraliste se retourne, prend un paquet et me le tend. « 10 euros » Je lui donne un billet de 20. Il me rend la monnaie. Il ne fait pas attention à moi. A-t-il deviné ce bout de cuir qui dépasse de la chemise ? Bizarrement, au fur et à mesure, je sens de la fierté. J’aimerai qu’il voie le collier. Je sors. D’un pas plus assuré. Madame m’attend. « Bien. Maintenant, allons nous amuser ». Je monte à bord de la voiture. Je fixe la route. Madame chantonne. Elle a l’air contente. Nous filons jusqu’à chez elle. Nous remontons jusqu’à son appartement, elle me fait signe de rentrer. A peine à l’intérieur, j’entends sa voix derrière moi. « A poil ». Je m’exécute. Je me retrouve dans l’entrée de Madame. Entièrement nu avec comme seul habit le collier de cuir. « Suis moi ». Je me mets à marcher derrière elle. Elle s’arrête. Elle n’a pas besoin de me regarder. « Qui t’a dit que tu pouvais rester debout ? Je vais t’éduquer comme il faut » Je comprends qu’il faut que je me mette à genoux. Je m’exécute et je la suis. J’arrive dans le salon où une tenue est posée sur un fauteuil. « Comme tu n’as pas ta tenue de latex, tu vas porter cette tenue de soubrette. Je sais que tu aimes ça. Pendant ce temps, je vais finir de me changer. » Elle s’en va me laissant avec la tenue. Je la prends. Je regarde comment elle s’enfile. Je la mets progressivement. J’essaie de faire le moins de bruit possible. Je finis par la mettre. Je suis debout. Je reste de longues minutes comme ça. Je réalise que Madame ne m’a toujours pas dit de me mettre debout. Je me remets à genoux, à quatre pattes. J’entends au loin des talons qui claquent. Ils s’approchent. Madame arrive. La même sueur chaude me parcourt. Je sens l’excitation monter. La tête baissée, je ne devine que ses bottes devant moi. « Est ce qu’une soubrette attend sa Maîtresse ainsi ? Debout » « Oui Madame. Désolé Madame » Je comprends mon erreur. Je me lève aussi tôt. « Bien. » Je découvre alors Madame. Elle est entièrement vêtue de cuir et de latex. « Tu aimes ce que tu vois ? J’avais cru comprendre que tu aimais ces matières » J’acquiesce fébrilement. « oui Madame » Madame se met à tourner autour de moi. Elle me scrute. Me regarde de haut en bas. Dans les moindres détails. Elle s’assoit, souris, et s’allume une cigarette. Elle pointe ses bottes du bout de ses magnifiques doigts noirs. « lèche » Je me mets aussitôt à genoux et je mets à à lécher. « Que dit on ? » « Merci Madame » Je reçois alors le premier coup de martinet. Je n’avais pas vu qu’il était là. Depuis combien de temps ? « C’est désormais Maîtresse pour toi ». Je sens qu’elle approche sa main de mon cou. J’entends un cliquetis. Et une pression s’exerce sur mon cou. Une laisse. Maîtresse me tient désormais en laisse. Elle en profite pour m’indiquer d’un coup de collier que je dois prendre soin de l’autre botte. Je me sens heureux, à ma place. En train de prendre soin des bottes de Maîtresse. « Tourne-toi. » Je me retourne, laissant mon postérieur à la merci de ma Maîtresse. Je pense sa main glisser entre mes jambes. Je reconnais ce bruit. C’est celui d’un lubrifiant. Je sais ce qu’il va se passer. Et cela m’enchante. Je suis encore plus excité. Quelque chose de froid rentre en moi. Un plug. Je remercie ma Maîtresse. « hmm. Mais on aime ça. On ne m’avait pas menti. Bonne petite chose que t’es ». Je porte en moi le plug de Maîtresse. « Bien. Maintenant que tu es équipé comme il faut. Tu vas faire ce que toute bonne soubrette doit faire : s’occuper de la maison de Maîtresse. Debout » Je me relève. Et je suis Maitresse qui me tient en laisse. « On va commencer gentiment aujourd’hui. Tu vas faire la vaisselle. Mairesse me tient des gants » Je les prends, je les mets. D’un coup de collier, elle me fait comprendre que je dois m’approcher de l’évier. Il y a des verres, des assiettes. « On va commencer par quelque chose de simple. Mais attention. Pour chaque verre, chaque assiette, mal nettoyés un coup de fouet ». Je commence. Les premiers verres sont faciles et rapides. Mais au bout de quelques minutes, je sens le plug dans mes fesses. Cela devient de plus en plus dur. Je ne suis plus habitué à porter un plug. Maîtresse revient dans ma pièce. Elle regarde les verres. Très rapidement elle voit les traces. Cela correspond au moment où le plug s’est fait sentir. « Bien, bien. Tu connais la punition. » « En position » Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire. « En position tu as compris ? » « Je vais devoir t’éduquer. Tu vas devenir une vraie soubrette. Remonte ta jupe. Montre tes fesses et cambre-toi » Je me mets en position. « Voilà quand tu veux » Le fouet se met à claquer alors sur mes fesses. Entre certains coups, je sens la main de maîtresse me caresser les fesses et l’entre-jambe. « Je vais faire de toi ma petite chose de soubrette ». Maîtresse reprend son fouet et me punit de plus belle. Je me mets à gémir. « Ah mais je savais que j’avais oublié quelque chose. Ne bouge pas » Me voilà cambrée, en train de tenir ma robe. J’ai froid, chaud, j’ai mal. Une goutte de sueur coule sur mon dos. Je me mets à rebander. J’entends Maitresse à l’autre bout de l’appartement. Je suis seul. Je me mets à trembler. Surtout ne pas céder. Rester dans la même position. Maîtresse revient enfin. « Ouvre la bouche » Je sens alors pénétrer dans ma bouche une boule. Maîtresse vient de me mettre un bâillon. « Bien. maintenant tu vas me préparer le thé. On va en profiter pour commencer ton éducation maintenant. » Maîtresse sort alors des menottes. Qu’elle m’accroche aux poignets et aux chevilles. Tu vas devoir marcher sans faire tomber le plateau. Viens me rejoindre quand tout est prêt. Je me retrouve seul. Je ne sais pas par où commencer. Je finis par me lancer. Je lance de l’eau à bouillir. Je trouve une théière. Heureusement il n’y a qu’un seul pot de thé. Je prépare un plateau avec tout. Je me dirige en direction du salon, les membres entravés par les menottes. J’arrive à avancer sans faire tomber le thé. « Bien, tu vois quand tu veux ». Je dépose le thé à Maitresse. D’un claquement de doigt, elle me fait comprendre que je dois me mettre à genoux. D’un deuxième, que je dois me mettre à quatre pattes. Maitresse étend ses jambes sur mon dos pendant qu’elle boit son thé. De longues minutes s’écoulent. Parfois la jambe de Maitresse descend au niveau de mon entrejambe et titille mon plug. « Surtout ne bouge pas ». Me rappelle Maitresse quand elle voit que je réagis aux mouvements du plug en moi. J’entends Maitresse qui se lève, le bruit lourd de lanière en cuir. J’essaye de comprendre les yeux. « Garde les yeux baissés » Je fais attention à ne surtout pas relever la tête. J’entends Maitresse qui revient sur le canapé et qui s'assoit. Elle tire alors sur la laisse pour me faire comprendre de me retourner vers elle. Maitresse porte désormais un god-ceinture. « Avant que tu ne t’occupes de lui, je vais m’occuper de tes seins ». Maitresse tire de nouveau sur la laisse pour que je m’approche d’elle. Elle baisse mon haut et tire des chaînes, disposées sur le côté du canapé. Ce sont des pinces reliées par une chaîne en fer. Elle dispose chaque pince sur mes tétons. « Voilà, comme ça tu vas pouvoir t’en occuper ». Elle tire alors sur la chaîne des tétons pour me faire comprendre que je dois sucer le god ceinture. Je le prends alors en bouche et m’en occupe avec passion. Je me sens tellement bien, comme ça, la tête entre les jambes latexées de Maitresse, un god en bouche. Je me sens à ma place. « Tu as fait du bon travail pour une première fois. Tu vas pouvoir être récompensée ». Maitresse m’ordonne alors de me branler et me faire jouir. Cela arrive assez rapidement et je ressens un plaisir que je n’avais pas vécu depuis bien longtemps. Je me jure de revenir aux pieds de Maitresse et de lui obéir du mieux que je pourrai.




 
 
 

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