Nouvelles de ma Suzie Partie 2

Voilà quelques semaines que je suis rentré aux ordres de Maitresse De Matika…

Pour commencer mon éducation, Elle a commencé par me donner un prénom Suzie. Je l’ai découvert un matin quand j’ai reçu un SMS de sa part : « Rends-toi sur mon site pour découvrir ton prénom ». Depuis, je suis toute excitée d’être officiellement sa femelle, sa lope. Mon éducation allait commencer. Dans la foulée, j’ai reçu un autre SMS de sa part « Pour commencer, tu vas t’acheter un plug, un collier ainsi qu’une cage de chasteté ». Heureusement pour moi, j’avais déjà un plug et un collier, une situation dont Maitresse semblait satisfaite.

Mais il manquait la cage.

LA CAGE DE CHASTETE.

Je relisais plusieurs fois ce mot. Je rêvais depuis longtemps de porter une cage et de remettre la clé à une Maitresse. La simple évocation de ce mot me rendait toute chose, je sentais ma chatte se contractait. Je devenais entièrement femelle.

Maitresse me laissa alors quelques semaines pour acquérir l’objet ultime de ma soumission, de mon appartenance envers Elle.

Les jours passèrent, les semaines et je me dérobais à cette tâche. Je la repoussais à plus tard. Parfois pour de bonnes raisons, d’autres jours, par procrastination. Je profitais que Maitresse ne me rappelle pas ce sujet. Avait-Elle oublié ? En tout cas, je ne faisais rien pour lui rappeler.

Puis finalement un jour, je reçois un message de Maitresse « Est-ce que tu as reçu la cage que tu as commandé ? ». La cage… j’avais totalement oublié.

Tu as jusqu’à vendredi pour t’acheter la cage. Passé ce délai, la punition sera sévère.

Je comprends que je n’ai plus le choix.

Étrangement, je suis tenté de lui dire « ah oui quelle punition? » ou « sévère comment ? ». Est ce que c’est un côté brat… un côté que je ne connaissais pas qui apparaît en moi ?

Je me résous à seulement répondre par « oui Maitresse. »

Nous sommes lundi, il me reste 4 jours.

Par où commencer ? Où acheter ?

Je reconnais que l’une des raisons qui avait encouragé cette procrastination était la peur de me tromper.

Quelle taille choisir ?

Je découvre qu’il y en a plusieurs. La cage mais aussi l’anneau autour.

Il faut mesurer son sexe.

Les tutos sur internet sont compliqués. Il faut prendre un mètre couture. Ou un fil. Le passer autour des bourses. Du sexe. C’est un cauchemar.

J’ai vraiment peur de me tromper.

C’est mon côté bon élève.

Au cours d’un échange passé, je me rappelle que Maitresse m’avait conseillé de me rendre chez Métamorphose. « Ils sont de bons conseils ».

Je regarde les heures d’ouverture. Ils sont ouverts seulement l’après-midi. Il va falloir que je trouve du temps pour y’aller. Mon problème principal… c’est le travail. La semaine à venir s’annonce intense. Je suis en télétravail. Et la boutique est assez loin de chez moi. J’aurai pu m’absenter entre midi et deux… mais les timings sont compliqués et encore une fois, le travail, cette semaine ne me laisse aucun répit. Je mange tous les jours devant mon écran, en suivant des calls. Et à chaque fois, je me demande « s’ils savaient… »

Mardi, impossible d’y aller.

Mercredi également.

Je commence à paniquer. Si je n’y vais pas, qu’est ce qui se passera ? Est-ce que je serai juste punie ? Ou je serai renvoyé ? « C’est fini Suzie. Tu n’es plus à mon service. Au revoir ». Je vois une lueur d’espoir. Le vendredi semble se dégager. Je m’organise pour justement avoir mon après-midi de libre.

Le jour J arrive.

Dernière réunion, dernier rendu. Il est midi. Je suis libre. Je peux y aller. A aucun moment, Maîtresse ne m’a rappelé la cage. Je n’en ai pas non plus parlé. Je sais que plus on parle, moins on fait. Et je ne voulais pas la décevoir. Puis, je sens, je sens qu’elle m’attend. Maîtresse ne répond pas, plus à mes salutations du matin. Je sais qu’elle est occupée… mais je sais également qu’elle est agacée. Si je veux être à son service, il faut y aller.

Avant de partir, je mets mon plug. Une manière pour moi, de sentir La présence de Maîtresse. Je ne pourrai plus faire machine arrière. Je sors de chez moi, je marche jusqu’au métro. Je sens le plug qui s’enfonce en moi. A chaque mouvement, je sens indirectement la présence de Maitresse et qui me rappelle que je n’ai plus le choix.

J’arrive enfin à la boutique. Il faut sonner pour rentrer. Un homme à côté fume une cigarette. J’ai l’impression qu’il me regarde. Il doit me prendre pour un pervers. Si seulement, il savait.

De longues secondes passent. Je ne fais pas demi-tour. Je suis dans la dernière ligne droite. La cage me tend les bras.

Le vendeur finit par arriver. Il m’ouvre. « Comment puis-je vous aider ? » Je réponds que je suis là pour une cage de chasteté. Avec beaucoup de gentillesse et de bienveillance, il m’invite à venir regarder dans la vitrine au niveau de la caisse. Il me montre plusieurs modèles. Il me montre une cage en fer. « C’est notre best seller ». Il m’explique qu’il en vend très souvent. Il m’explique le fonctionnement. Elle me plait. Je me demande juste si elle plaira à Maitresse. A ce moment-là, une cliente arrive. Elle est là derrière. Je me demande si c’est une dom. Il me montre un autre modèle puis un autre mais mon esprit reste focalisé sur la première. Une autre cliente arrive également. J’ai envie de dire fort que c’est pour ma Maitresse que les deux autres personnes sachent que je suis une lope, une soumise au service de Maitresse De Matika. Mais je reste sérieuse, calme et je continue. J’hésite sur le choix de la cage. Je me demande si mon coup de cœur est le bon choix. Il faut que je prenne un risque. Si la cage ne plait pas à Maitresse, je sais que je serai punie. Cela fait partie de mon éducation. « Je vais choisir la première », « très bon choix » me répond me répond le vendeur. Mon sexe confirme en se gonflant automatiquement… mon anus aussi. L’excitation s’accroit encore plus quand le vendeur me montre la cage et m’explique le fonctionnement. Je paie, prends la cage et je sors de la boutique. Dehors, je ressens un sentiment de fierté. J’ai envie d’envoyer un message à Maitresse mais je préfère attendre, attendre d’être chez moi pour la porter, prendre une photo et la partage à Maitresse comme preuve de ma soumission et que j’ai bien compris les attentes de Maitresse me concernant.

Les minutes du retour me semblent longues. Très longues. Je bande tellement. J’essaye de calmer l’excitation car sinon je ne rentrerai jamais dans la cage.

J’approche de chez moi. Je rentre dans mon immeuble, monte les marches avec empressement, ouvre ma porte. Je pose mon manteau, mon sac, l’ouvre et en ressort la cage. Je prépare tout pour qu’elle soit prête à être utilisée. Il faut maintenant que je me calme. Je vais m’occuper, travailler, trier des affaires. Je sens mon sexe qui est enfin au repos. Je baisse mon caleçon, saisit la cage, met l’anneau autour de mes couilles, fait rentrer mon sexe dans la cage, clic… Voilà, c’est bon. Je suis enfin encagée.

Je prends une photo et je peux enfin dire à Maitresse « Voilà, c’est fait Maitresse »

Je suis plus que jamais au service de Maitresse, je suis plus que jamais sa chose, sa lope, sa femelle… sa Suzie.